Nzambi Mfumu, Longi Muntu

Notre écriture

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L’objectif de Malongi Kongo est de rétablir la véritable langue hébraïque Israélite de la Toli qui sont le Kikongo/Lingala et comme le disent les saintes écritures dans Psaumes 64:8 « Leur langue a causé leur chute; Tous ceux qui les voient secouent la tête ». L’abbé Proyart (un Jésuite Caucasien Edomite et Espion du Vatican) dans son œuvre « Histoire de Loango et de Kakongo et autres royaumes d’Afrique paru en 1776 », confirme en disant que :

Jean 19:20

Cet écriteau, beaucoup de Judéens (royaume du Sud) le lurent, car l’endroit où Yisayela Kongo (Jésus) avait été crucifié était proche de la ville, et le texte était écrit en hébreu, en latin et en grec.

Cette langue dont parlait l’Abbé Proyart, cette langue hébraïque parlée par le peuple situé en Afrique centrale, ouest et sud, la langue hébraïque du peuple Israélite vu dans le passage en Jean 19:20 n’est autre que ce qui est appelé Kikongo (royaume du sud)/Lingala (royaume du nord).

L’objectif de Malongi Kongo est aussi de rétablir la vérité de Yela Kongo sur les noms véritables de lieux, de protagonistes, de personnages réels qui sont mentionnés dans la Toli c’est-à-dire tous les livres de la Loi car ce que le Vatican appelle « Bible » (qui vient du grec ancien biblios) est une sélection de livres, provenant de toute la Toli, écrite originellement en Paléo Mbala (Hébreu), au nombre de 66 divisés en 6 parties (pentateuque, les livres des rois, les livres des prophètes, les évangiles, les lettres apostoliques, apocalypse ou révélations). Ce manuscrit du Vatican est appelé le « Codex Vaticanus », et il a subi plusieurs retouches pour correspondre à la ligne de pensée du Vatican, aux velléités et directives papales depuis Constantin le Grand jusqu’à aujourd’hui.

La Toli est l’héritage (Deutéronome 33:4) que Yela Kongo a donné à son peuple élu, MbalaIsolele à travers le législateur Masa (Moïse), alors elle comporte dans son entièreté et intégralité plus de cent livres (2 Esdras 14:37-44) d’où certains sont mentionnés dans la Bible ou Codex Vaticanus sans toutefois les trouver :

Quelques livres

Josué 10:13 et 2 Samuel 1:18 : le Livre du Juste. 

1 Rois 11:41 : le Livre des actes de Salomon. 

2 Chroniques 9:29 : le Livre du prophète Nathan. 

Jude 1:14 : le Livre d’Enoch. 

D’autres, même s’ils ne sont pas mentionnés de manière explicite, mais les propos de certains serviteurs de Yela Mbalu (Dieu Très-Haut) se retrouvent dans ces Livres, ils font partie de la liste des Livres appelés soit-disant « apocryphes non inspirés du Très-Haut » par le Vatican. 

Le Livre d’Adam ; le Livre du Combat d’Adam et Eve ; le Livre des remèdes de Noé ; le Livre des Jubilés ; le Testament des douze patriarches ; le Livre de l’ascension de Moïse ; etc 

Or le Fils Unique du Très-Haut dit ceci en Deutéronome 4:2 et en Apocalypse/Révélation 22: 18-19; « Je le déclare à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre: Si quelqu’un y ajoute quelque chose, Kongo le frappera des fléaux décrits dans ce livre; 19 et si quelqu’un retranche quelque chose des paroles du livre de cette prophétie, Kongo retranchera sa part de l’arbre de la vie et de la ville sainte, décrits dans ce livre. » 

Alors, passons maintenant au vocabulaire non exhaustif de la Toli en Lasa Mbala Isolele Kikongo (Langue Hébraïque Israélite Kikongo) et ce vocabulaire selon l’ordre alphabétique qui est révélé a pour objectif de permettre au Peuple Elu Mbala Isolele de renouer avec sa véritable langue, mais aussi de permettre aux croyants en Kongo (Dieu) de prier avec les vrais mots, d’avoir une relation plus proche avec Kongo, comme le faisaient les patriarches, les serviteurs de Kongo et les disciples de Yisayela Kongo (le Messie). 

A

Aba, ba ou Abi : papa, chef
Ami ou Ame : mon, à moi, le mien
Aba-ala : père de plusieurs nations, père de plusieurs enfants, Abraham

B

Bela : malade, maladif, douleur, difficulté, Abel
Bana ou Ba : enfant, enfanter, engendrer
Bayi : maison, ceux de
Bantu : les humains, les hommes
Bena : enfant, fils, fille
Bitula : vierge 
Buti : fille
Bala : se marier, s’unir, voyager, élever, bâtir, alliance
Beluka : bénédiction

F

Funda = Éphod

D

Deba : exhorter, persuader, être tendre, inciter, instiguer
Doda : David
Dimuntu : homme, humain, humanité, ressemblance, image, Adam

I

Ikinda, Likinda : unique

K

Kanga : fermer, ceindre
Kongo : sagesse, habileté, honnêteté, vérité, ceinture, loi
Kwela : assemblée, mariage, se marier
Kina : danser, danse, chant accompagné des danses, lamentation, chant funèbre
Kinu : lamentations
Kabu : puissant, fort, héros
Konga : cercle
Kosi : foncé, sombre, noir
Kulu : pied

L

Lunga : esprit
Landa : suivre, accompagner, poursuivre
Lusi,e : visage, face

M

Maka : esprit
Makinu : danses
Mena : manne
Mana : finir, terminer
Mvula : pluie, éternel, éternité, temps
Mayi : eau
Masa : eau, Moïse
Masi : oint, Messie
Mbala : Eber, hébreu, migrant

N

Ndundu : blanc, rouge, albinos, rougeâtre (comme le péché)
Noka : pleuvoir, se reposer, dormir, repos, pluie (déluge)
Ndibu : tendre, généreux, grand
Nkandu : saint, consacré
Ngoyi : nation, païen, étranger
Ndani : juge, seigneur
Nda : éternel
Ngadi : joie, Gad
Nkusi : sombre
Nsavu : poilu, vélu, Esaü
Nkama : couche, dessous

 

  

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